mArie
alias"la P'tite"
LA FEMME ET LE COQ
Marianne remplace le bonnet symbolisant la liberté par une étole assez épaisse pour éponger les larmes induites par le virus «coco» qui décime en nos temps le peuple qu’elle incarne. Des fleurs en imprimé rappellent à la fragilité de la vie. Le coq qu’elle porte au creux de son cœur est annonciateur de jours meilleurs. Ainsi, dignes, ils avancent tous deux vers la lumière.
Cette peinture est une allégorie de ce que nous traversons tous depuis le début de l’année 2020.
Accrochée aux chiffres toujours plus importants du nombre de contaminés diffusés sur nos divers supports médiatiques, c’est avec stupeur que nous découvrons que le premier temps de confinement se trouvait être une période sombre pour nombre de concitoyens-nes subissant des violences conjugales. Ces chiffres-là n’étaient pas communiqués, mais les annonces des numéros verts à contacter faisaient écho à ces agressions. Par cet affreux constat et après avoir été bousculée par le courageux discours d’Adèle Haenel, le mois de Mars a réveillé en moi l’envie de peindre pour les femmes, et de rendre hommage à mes héroïnes. J’ai eu le temps de réflexion nécessaire pour sélectionner chacune d’entre elles et dessiner ainsi le parcours que vous venez de suivre, lire, écouter et regarder.
La femme et le coq est le tableau initial, la première chanson et la précision de l’idée de la création de ce parcours au féminin.
Marianne cambia el gorro que simboliza la libertad por un echarpe lo suficientemente espeo para poder secar las lágrimas producidas por el virus del coco que diezmina en nuestros tiempos al pueblo que ella encarna. Las flores impresas recuerdan la fragilidad de la vida. El Gallo que lleva en su cora´zon anuncia días mejores. Así, dignamente, avanzan los dos hacia la luz.
Esta pintura es una alegoría de lo que nos ocurre desde el año 2020.
Enganchados a las cifras cada día mas importante del número de contaminadosque se difunden en los diferentes medios de comunicación, descubrimos con estupor que el primer poeriodo de confinamiento lo fue sombrió para numerosos conciudadanos que recibieron violencias conyugales.Estas cifras no se comunicaban, pero el número de llamadas de ayuda daban una idea de las mismas.Tras esta atroz constatación y tras el valeroso discurso de Adele Haenel, el mes de Marzo ha despertado en mi la motivación de pintar por las mujeres y de hacer un homenaje a las heroinas. He tenido el tiempo suficiente de reflexión para seleccionarlas y coinstruir el recorrido que vienen de seguir, leido, escuchado y visto.
La femme et le coq es el cuadro inicial, la primera canción y la precisión de la idea de la creación del recorrido en femenino.